Les leviers pour un recouvrement de créances efficace en période de COVID

Dans quel paradoxe sommes-nous ? Le nombre de défaillance d’entreprises en 2020 (32 184 selon ALTARES) n’a jamais été aussi bas depuis 1987 alors que la crise est d’une extrême violence pour tout le tissu économique.

L’Etat au travers de son plan d’aide massif joue un rôle indéniable d’amortisseur. Les entreprises entre elles se sont montrées solidaires en s’attachant à payer quand elles le pouvaient leur fournisseur à temps, évitant ainsi l’effet domino des défaillances dues aux retards de règlements.

Il faut rester optimiste pour la suite mais aussi vigilant car d’autres signes sont inquiétants comme l’augmentation des jugements en liquidation directe (3 sur 4 aujourd’hui pour 2 sur 3 en moyenne) ou les prédictions d’experts portant sur un rattrapage massif du nombre de défaillance d’entreprises.

 

Le cash, un enjeu majeur

Dans ce contexte d’incertitude, le cash n’a jamais été aussi vital que ce soit pour résister à la crise ou pour préparer et sécuriser le plan de reprise.

Or, fort est de constater que si les entreprises sont particulièrement bien équipées pour leur service de production, de comptabilité, de finance, de développement commercial… le recouvrement des créances reste souvent le parent pauvre des projets de digitalisation de la fonction finance.

Le poste clients est pourtant un des actifs les plus importants au bilan, le bon encaissement du chiffre d’affaires est aussi un levier majeur d’optimisation du BFR, de son financement et donc de la santé financière de toute entreprise.

 

Quels sont les leviers à disposition des entreprises pour optimiser durablement leur recouvrement de créances ?

Comme pour toute activité, l’entreprise doit porter ses efforts à la fois sur ses hommes, ses procédures, ses données et ses outils.

Elle devra s’assurer de disposer :

  • d’une équipe bien dimensionnée, qualifiée, régulièrement formée et motivée par sa mission,
  • de processus et modes opératoires ad hoc pour professionnaliser sa démarche d’encaissement et articuler clairement son action en interne avec l’ensemble des parties prenantes du cash : ADV, Commerce, Production, Direction Financière…
  • de données sur les clients de qualité et de toute première fraîcheur (encours, solvabilité, relation commerciale)
  • d’un outil pour lui permettre d’exécuter sa mission correctement avec efficacité, rigueur, pragmatisme et collaboration.

En articulant ces éléments clés, l’entreprise verra rapidement sa liquidité augmenter par l’intermédiaire de la réduction de son DSO (~20 %) et de ses encours (-50 %).

 

Quelle solution pour des bénéfices rapides et durables ?

La bonne articulation entre les hommes et la technologie du service de recouvrement apportera d’autres bénéfices visibles sur le niveau des litiges, la productivité des équipes, la satisfaction des clients.

C’est pourquoi, CashOnTime se tient à vos côtés pour gérer au mieux vos besoins en matière de recouvrement. Collaborative, intuitive, en mode cloud et rapide à mettre en place en quelques jours seulement, CashOnTime permettra aux entreprises de bénéficier de toutes les clés pour relever le défi majeur de ne pas subir la dégradation de ses délais de paiement.

Et comme tient à le souligner le responsable comptabilité client en charge du recouvrement de Visiativ :
« CashOnTime est considéré comme un projet quick win réussi dont les effets positifs s’inscrivent dans la durée. »

Retrouvez le témoignage de Visativ en intégralité ici

 

A propos de CashOnTime

CashOnTime, solution complète éditée par DIMO Software, structure la gestion du Poste Clients de l’automatisation du traitement des encaissements au recouvrement de créances.

Les solutions de credit management, de recouvrement, de litiges et de lettrage sont au cœur de ce logiciel de recouvrement.

 

EN SAVOIR PLUS

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Livre blanc - recouvrement créances
  1. Le client : facteur de risques et d’opportunités.
  2. Suivi du risque client : une démarche continue.
  3. Recouvrement de créances : l’indispensable organisation des process.
  4. Litiges : un enjeu stratégique pour toute l’entreprise.
  5. Favoriser le travail collaboratif.
  6. Digitalisation : gagner en proximité avec votre client.